Quand, je lis le débat autour du rassemblement de la gauche de la gauche, j’ai l’impression de relire des pans de l’histoire de ces 30 dernières années, vers une hypothétique construction d’un parti révolutionnaire, un rassemblement. Des que nous commençons à construire, notre noussains, rapidement comme les huîtres actuellement est frappés d’un eczéma.
Nous nous mettons autour d’une table, avant le fromage, nous voulons déjà une part de gâteau. Chacun se réfugie dans « on ne peut pas être d’accord » « on se fait piéger ».
Nous pourrions dépasser ce comportement primaire, pour se dire essayons de voir ce qui nous rassemble. Durant la campagne pour le non au TCE, l’unité s’est construit.
Pendant la résistance, le mouvement s’est amplifié, quand l’unité, les valeurs communes se sont construites. La résistance a dépassé les divergences d’idées pour mener le combat.
Actuellement le front de gauche est un embryon d’un rassemblement. Les 3 partis qui le composent sont différents, au pu durant une époque récente se faire insulté par l’autre au nom de la pureté révolutionnaire. Aujourd’hui, ils avancent ensemble.
Le problème de la candidature au présidentiel secoue le mouvement. L’essentiel est l’élaboration des plateformes communes, par l’organisation de forum.
Ne cherchons pas l’idéal, à part la commune de Paris qui a été décimée, l’idéal existe que dans nos têtes.
Si j’ai adhérer aux Alternatifs, ré adhérer car j’étais au PSU dans les années 70/90, c’est que je pense que les alternatifs sont les maçons de cet espoir.